Alice Rameliet s’initie très jeune aux plaisirs de la littérature. Adepte des grands classiques, ouvertes à de nouvelles pratiques, elle veut tout essayer, la poésie, le théâtre, la nouvelle, le roman, de façon active par l’écriture ou passive par la lecture. Animée par le démon de midi, elle se penche sur la littérature érotique en tout genre, dévorant Les Onze Mille verges d’Apollinaire, ou les œuvres d’Esparbec, Calaferte, Catherine Millet… Elle publie sa première nouvelle érotique aux éditions La Musardine dans Osez le sexe sur internet puis aux éditions L’amour des Maux, avec la nouvelle « Un bouquet pour Rose » pour le recueil de la Saint-Valentin. Elle réitère avec “Adieu Tristana” dans notre recueil “Trente-et-un/Dix, volume I”, “Martin au pays des merveilles” dans le recueil “Trente-et-un/Dix, volume II”.
Son premier roman “Martin à la campagne”, conte moderne dans un décor champêtre, vient de sortir dans nos éditions:
Voici comment Alice Rameliet le décrit: Audacieux, provoquant, extravagant, vulgaire, obscène, excentrique, too much, criard, de mauvais goût, excitant, sexy, sensuel, sexuel, outrancier, surréaliste, fantaisiste, coquin, cochon, cru, sale, hot, délicieux, scandaleux, baudelairien, surnaturel, pornographique, grivois, ridicule, excessif, suranné, exotique, parodique, amusant, gourmand, bucolique, paillard, enfantin, foutraque, étrange, licencieux, immoral, choquant, kitsch, osé, léger, frivole, décadent, et légèrement narcissique.
La revue du livre sur le blog Abhorrions-Flairant: une symphonie de cyprine, de foutre et d’esprit.
Revue de “Martin à la campagne” sur Babelio.